Chers Amis bonjour,
Quelques articles supplémentaires :
· Les éoliennes font débat à Soulac…
· Les douze proposition de la Droite populaire…
· Le service citoyen…
· Primaires socialistes…
· Bon sens ?...
Bonne lectures à tous
Jean DUPONT
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Jean DUPONT
Communiqué de Jean-Paul GARRAUD
Député de la Gironde
Secrétaire National de l’UMP à la Justice
Cofondateur du collectif de la Droite populaire
Elections sénatoriales, la réalité n'est pas celle que l'on croit.
Le triomphalisme de la gauche aux élections sénatoriales du 25 septembre masque complètement une situation très différente.
Ce n’est pas une victoire de la gauche mais simplement l’effet retard d’élections locales où nos concitoyens se sont, soit massivement abstenus de voter, soit ils ont manifesté leur mécontentement en confondant le local et le national.On arrive donc au terme d’un processus faussé à la base et les conclusions à en tirer ne sont pas celles que l’on croit.
Car la réalité, c’est que nos concitoyens veulent plus d’emplois, plus de sécurité, plus de respect pour les valeurs fondamentales, plus de sanctions pour ceux qui ne les respectent pas, qui abusent du système, qui fraudent et moins d’impôts, moins d’immigration, moins de paperasses administratives etc…
En fait, rien de ce qui figure dans le programme socialiste !
Alors, politiquement ne nous trompons surtout pas et continuons d’appliquer à la lettre le programme de Nicolas Sarkozy de 2007, tout en tenant compte des effets de la mondialisation de la crise qui nécessitent un interventionnisme fort de l’Etat.
26 septembre 2011,
Jean-Paul Garraud
Contact presse 0633830986
Le premier débat télévisé entre les six candidats socialistes montre pourtant combien l’exercice est encore très étranger à notre culture nationale. Voilà sur le plateau, six membres d’une même famille, soudainement placés sous le regard des Français, et visiblement obsédés par la volonté commune de cacher le linge sale qu’il ne faut laver qu’entre soi. S’en tenant, pour l’essentiel, à l’exégèse de la pauvre bible commune : le projet socialiste. Un texte adopté il y a quelques mois – c’est-à-dire un siècle : avant le retour de la crise aiguë de la dette, qui périme tous les plans à long terme antérieurs.
Nous avons ainsi assisté à un huis clos, une pièce de théâtre dont les acteurs rabâchaient les mantras de leurs grands pères, effrayés à l’idée d’affronter un monde radicalement nouveau avec des idées neuves. Les vils banquiers sont responsables de la crise, il faut les « mettre au pas ». Si les prix montent, on les bloquera. Si les jeunes sont au chômage, l’Etat subventionnera leur emploi. Soucieux d’essayer de faire apparaître des nuances, fût-ce infimes, entre ces docteurs de la vieille foi, les journalistes n’ont finalement pas posé les vraies questions auxquelles sera confronté l’élu(e) de 2012 : comment réduire massivement les dépenses, et quels impôts faudra-t-il aussi augmenter ? Chut ! Quel prix de l’électricité est-on prêt à accepter en contrepartie de la réduction du nucléaire ? Chut ! Comment pouvons-nous redevenir compétitifs en continuant de nous pénaliser nous-mêmes sur le coût du travail (les 35 heures), et en projetant de le faire aussi sur le coût de l’énergie (le renouvelable, c’est plus propre mais beaucoup plus cher) ? Chut ! La crise de la dette, les dérives financières, l’immigration, l’énergie et même la défense sont désormais des sujets qui ne peuvent être traités efficacement qu’au niveau européen : comment la France agit-elle, avec qui, pour mettre l’Europe en mesure d’agir ? Chut ! Le « gouvernement économique européen » se met en place, mais quel est le progrès si ses membres ne sont pas en mesure de faire appliquer chez eux les engagements qu’ils prennent à Bruxelles ? Chut ! Jean-Paul Sartre assumait ses mensonges sur l’échec du communisme pour ne pas « désespérer Billancourt », la forteresse ouvrière de l’époque. Hier soir, il ne fallait pas désespérer Solferino, tous ces militants que bercent encore les rêves roses de 1936 et 1981.
Sur ce plateau somnambulaire, il s’est quand même trouvé quelqu’un pour oser affronter les problèmes de sa génération, sans rien cacher de la dure vérité du moment. Hélas, ce faisant, le courageux Manuel Valls s’est condamné à rester marginal dans un parti désormais enfermé dans sa surenchère orthodoxe. L’homme a pris date pour l’avenir. Mais il est clair que cet avenir ne passe pas par le PS qui était hier soir sous les projecteurs.D’ici mai prochain, la route sera longue, et pleine de rebondissements. Mais le vainqueur du premier round des primaires socialistes est un certain Nicolas Sarkozy. »
Alain LAMASSOURE
Député européen - Conseiller régional d'Aquitaine
Communiqué de presse de Jean-Paul GARRAUD
Député de la Gironde
Secrétaire national de l’UMP à la Justice
Magistrats de la Cour des comptes : une indignation sélective.
Pour l’association des magistrats et ancien magistrats de la Cour des Comptes, la nomination d’une technicienne compétente et reconnue, ancienne Conseillère du Président de la République, comme Conseiller Maître à la Cour serait « choquante et remettrait en cause l’indépendance de leur juridiction » !
Mais,
Ont-ils été choqués par la nomination à leur tête d’un député socialiste ?
Ont-ils été choqués que l’ancien maire PS de Draguignan, toujours membre de l’opposition municipale et ancien Secrétaire national du PS en charge des services publics jusqu’en 2009 soit l’auteur d’un rapport assassin sur la politique de sécurité du gouvernement ?
Ont-ils été choqués que le président de la chambre d’où émane ce rapport soit un ancien sénateur socialiste nommé opportunément un mois seulement après avoir renoncé à son siège en 1992?
Ont-ils été choqués qu’un collaborateur du Premier-Président invite ses collègues auditeurs à donner de leur temps libre pour aider le PS à organiser ses primaires?
Comme d’habitude, l’indignation est sélective et n’a qu’une seule cible : le Président et sa majorité.
Alors, merci d’en finir avec les leçons de morale car cette indignation sélective se rapproche vraiment d’un certain sectarisme.
20 Septembre 2011
Jean-Paul Garraud
Député de la Gironde
Secrétaire national de l’UMP à la Justice
Contact presse : 0633830986
Quand les juges s’occupent davantage des médias que de leurs dossiers.
"Présentée par certains médias comme la victime de pressions politiques, Mme Prévost-Desprez, en charge d’un volet du dossier Bettencourt n’aurait eu d’autre choix que de livrer « sa » vérité aux auteurs du livre « Sarko m’a tuer ».
Ceci est totalement inadmissible.
D’abord sur le fond, puisque de telles assertions ont été démenties par toutes les personnes concernées : l’auteur des prétendues confidences au juge et même la propre greffière du magistrat !
Ensuite, parce qu’un juge, quel qu’il soit, doit se consacrer à son dossier et non pas à sa propre publicité.
En tant que juge d’instruction, il m’est arrivé que des personnes souhaitent s’exprimer « en dehors du procès-verbal ». Sans donner leur identité, j’en faisais aussitôt mention dans la procédure pour laisser une trace par un PV, cosigné par ma greffière, et je pouvais ainsi utilement donner certaines orientations à mon enquête. Il appartenait ensuite à la juridiction de jugement d’apprécier l’ensemble des éléments.
Mme Prévost-Desprez le sait très bien et elle ne l’a pas fait.
Elle a préféré faire publiquement et tardivement des « révélations » non confirmées et contredites par ceux même qui les auraient faites ou reçues…
C’est une faute dont il faudra connaître les raisons.
La Justice se doit d’être irréprochable et impartiale.
Ce n’est plus le cas lorsque des juges transgressent leur devoir premier, celui du respect de la loi.
Le Code de procédure pénale ne peut être enfreint par ceux qui sont en charge de l’appliquer.
Tout peut être rapporté dans un dossier à condition de s’y consacrer totalement et sereinement.
Les ressentiments personnels d’un juge sont à proscrire."
Jean-Paul Garraud
Député de Gironde
Secrétaire National à la justice
Cher(e)s Ami(e)s, bonsoir!
Quid novi ?
Vous trouverez la rubrique « Conseil National » de notre blog mise à jour et incrémentée de « L’Argu Flash Campus UMP ». Ce Campus a eu lieu du 2 au 4 septembre 2011 à Marseille.
Comme vous pourrez le noter en introduction, le texte de l’Argu Flash étant d’un « volume » trop important, j’ai dû le scinder en 4 parties pour le diffuser. Plus un partie réservée aux commentaires de notre Délégué de Circonscription.
Sur ce, bonne lecture et bon WE
Amicalement
Jean DUPONT