mardi 27 septembre 2011

PASSAGE DE RELAIS par XAVIER DARCOS

Passage de relais
Depuis dix-huit mois, comme je m’y étais engagé, j’ai assuré la présidence du
groupe d’opposition. Je remercie mes collègues de leur confi ance et de leur
amitié.
Aujourd’hui, il m’est diffi cile de trouver la disponibilité nécessaire à l’exercice réel
de cette responsabilité. J’assume, en effet, la présidence exécutive de l’Institut
français, un très gros établissement public à vocation internationale, et je suis
secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences morales & politiques, charges
passionnantes mais lourdes.
Si le rôle de l’opposition est difficile, notre action est essentielle, elle doit préparer
l’avenir. Il nous faut donc un président présent et crédible. Pour cette raison, j’ai demandé,
avec le soutien de mes amis conseillers régionaux, à Michel DIEFENBACHER, député du Lot et Garonne,
de bien vouloir remplir cette tâche. Sa forte implication régionale et son ancrage local nous garantissent
un travail sérieux et utile au service des Aquitains.
Je reste, pour ma part, un conseiller régional de base, fi dèle et attentif.

Xavier DARCOS ■
Président

Communiqué de Jean-Paul GARRAUD

Communiqué de Jean-Paul GARRAUD

Député de la Gironde

Secrétaire National de l’UMP à la Justice

Cofondateur du collectif de la Droite populaire

Elections sénatoriales, la réalité n'est pas celle que l'on croit.

Le triomphalisme de la gauche aux élections sénatoriales du 25 septembre masque complètement une situation très différente.


Ce n’est pas une victoire de la gauche mais simplement l’effet retard d’élections locales où nos concitoyens se sont, soit massivement abstenus de voter, soit ils ont manifesté leur mécontentement en confondant le local et le national.

On arrive donc au terme d’un processus faussé à la base et les conclusions à en tirer ne sont pas celles que l’on croit.

Car la réalité, c’est que nos concitoyens veulent plus d’emplois, plus de sécurité, plus de respect pour les valeurs fondamentales, plus de sanctions pour ceux qui ne les respectent pas, qui abusent du système, qui fraudent et moins d’impôts, moins d’immigration, moins de paperasses administratives etc…

En fait, rien de ce qui figure dans le programme socialiste !

Alors, politiquement ne nous trompons surtout pas et continuons d’appliquer à la lettre le programme de Nicolas Sarkozy de 2007, tout en tenant compte des effets de la mondialisation de la crise qui nécessitent un interventionnisme fort de l’Etat.

26 septembre 2011,

Jean-Paul Garraud

Contact presse 0633830986