Devant le Congrès, le président a exclu toute politique de rigueur et promis qu'il n'augmentera pas les impôts.
«Ayons le courage de changer» : pendant trois quarts d'heure, Nicolas Sarkozy a martelé une nouvelle fois que la crise ne devait pas servir de prétexte à l'immobilisme, mais plutôt «rendre plus libre d'imaginer un autre avenir». (Voir le discours en intégralité avec LCP-AN et Public Sénat)
«La crise n'est pas finie, nous ne savons pas quand elle se terminera», a reconnu le chef de l'Etat, dans son premier discours devant les parlementaires réunis en Congrès à Versailles.
LES PRINCIPALES DECLARATIONS:
" -UN EMPRUNT POUR FINANCER LES PRIORITES NATIONALES
- UNE DECISION SUR LES RETRAITES A LA MI-2010
- UN AN DE SALAIRE POUR LES LICENCIÉS ÉCONOMIQUES
- LA BURQA, NON GRATA DANS LA RÉPUBLIQUE
- LA LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS, UNE PRIORITÉ
- LE REMANIEMENT POUR MERCREDI
- ALLER «JUSQU'AU BOUT» SUR HADOPI
- TAXE CARBONE, UN CHOIX STRATÉGIQUE
- CONSTRUIRE DES PRISONS
- LA RÉFORME DES COLLECTIVITÉ LOCALES CONFIRMÉE"