La tempête continue sous une autre forme. La destruction du mobilier urbain, de cabines téléphoniques, d'abribus, tags, vitres brisées. Scènes, que nous avons déjà vu lors des fêtes de fin d'année. D'ailleurs, notre quotidien local, Sud Ouest en avait fait un petit article, très discret.
Pouvons nous commencer à parler d'insécurité dans notre ville? On peut se poser la question, surtout en voyant une voiture brûlée sur le parking, le matin de bonne heure en allant chercher tranquillement son pain. Cela touche nos citoyens, ces véhicules ne sont pas un luxe, mais bien souvent, un bien de première nécessité qui permet de se rendre au travail tous les jours.
Que font nos élus, nos conseillers municipaux, pourquoi ces dégradations perdurent? Peut on constater une attitude passive de leur part? N'ont ils pas assez de constater ces destructions, ces tags... Serait il de bonne augure d'en parler dans nos écoles, d'enseigner le respect du bien d'autrui et du notre, aux élèves. Sensibilisés, ils pourraient, peut-être, à leur tour, en parler à leurs cousins, frères, copains! Pourquoi pas? L'information peut passer aussi par une visite amicale de nos gendarmes ou la police municipale sous forme de prévention, afin de véhiculer la bonne parole? Notre jeunesse, par manque d'occupation...fait entendre sa rébellion . Le devoir d'une municipalité s'est d'être à l'écoute de ces jeunes et de trouver avec eux des solutions afin de les occuper sainement.
Notre sécurité doit elle passer par la mise en place de caméras de surveillance, qui donnent de bons résultats dans certaines communes de France ou pouvons nous éviter cela par des cours de civisme?
AFFAIRE A SUIVRE!
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