CONSEIL MUNICIPAL

Le prochain conseil municipal se tiendra le 16 décembre 2009 à 19h. Pour connaître l'ordre du jour,veuillez cliquer sur le lien suivant: consulter l'ordre du jour

Grande Réunion sur la 5ème circonscription, sous la Présidence de Jean Christophe Guillaume, Délégué de la circonscription et de Johnny Caron, Délégué Cantonal de Blanquefort, Ils ont accueilli Notre Conseiller Régional et Adjoint au Maire de Bordeaux, Dominique Ducassou afin que la population locale puisse débattre sur la Région et surtout sur l'Avenir de l'Aquitaine.

Les échanges entre le Conseiller Régional et le public ont permis de soulever plusieurs problématiques comme l'état de nos transports:

-TER

- embouteillages sur la rocade Bordelaise

-L'état de certains de nos axes routiers

Mais le grand thème de la soirée fut l'endettement de notre région du à la très mauvaise gestion du Président Régional PS sortant

En voici quelques exemples:

:

Après ce débat passionnant, nous nous sommes retrouvés autour d'un buffet amical où de nombreux échanges ont eu lieu.

Nous remercions Henriette Oeil pour l'organisation de cet évènement

Le Président de la Région face à ses propres incohérences

Au moment où nos concitoyens s’interrogent pour mieux comprendre le fait régional, Alain Rousset entretient toujours la confusion.

Après avoir critiqué l’insuffisance des moyens qui accompagnent les compétences transférées par l’Etat tout en oubliant que les pires transferts en la matière (Lycées et TER) ont eu lieu sous des gouvernements de gauche, il s’en prend maintenant aux financements hors compétences (Sud-Ouest du 5 décembre).

Il oublie qu’il est coutumier du fait en assumant seul la régénération de la ligne ferroviaire Oloron-Canfranc tout en critiquant la participation de la Région au plan de financement de la LGV. Il oublie surtout qu’il existe un contrôle de légalité amené à rejeter toute délibération jugée hors compétence.

Les Universitaires apprécieront que le Président sortant de la Région ne participe pas avec enthousiasme aux côtés de l’Etat à l’essor des Universités qui se situent en grande partie sur la commune de Pessac.

Dominique DUCASSOU

Président du Groupe UMP

ELECTIONS REGIONALES

Xavier Darcos ouvre le débat des élections régionales en lançant le site « votreaquitaine.fr »

En lançant le site « votreaquitaine.fr », Xavier DARCOS a donné clairement le ton de la campagne régionale qu’il entend mener : une campagne fondée sur les échanges directs avec les Aquitains.

Alors n'hésitez pas connectez vous, faites nous part de vos interrogations suggestions !

UMP 33

CEREMONIE DU 5 DECEMBRE

COPENHAGUE: UN RENDEZ VOUS HISTORIQUE

une chance pour l’humanité

Ce lundi 7 décembre marque le début du sommet de Copenhague et par conséquent d’un « évènement important » pour le Mouvement Populaire ont déclaré Frédéric Lefebvre et Dominique Paillé lors de la conférence de presse hebdomadaire.

Le Mouvement Populaire qui défend l’écologie populaire grâce à l’application du Grenelle de l’Environnement et aux initiatives internationales prises par le Président de la République, entend être à l’écoute du déroulement de ce sommet, a déclaré Frédéric Lefebvre.

« La France est écoutée et respectée à l’international grâce aux dispositions que Nicolas Sarkozy a lancé avant les autres pays », a rappelé le porte-parole.

« Nous prônons une écologie populaire qui veut mettre en place une croissance verte, à la différence des Verts qui prônent à la fois la décroissance et la repentance comme vision politique », a souligné Frédéric Lefebvre.

L’écologie a été créée de manière négative en s’opposant au pouvoir politique en place (Rainbow-warrior, Greenpeace) ! « Nous avons la chance de pouvoir changer nos habitudes et de mettre en œuvre des perspectives de croissance verte, le Mouvement Populaire saisit cette chance », a conclu le porte-parole.

Chers Amis,

Yves d'AMECOURT, Président du Groupe Gironde Avenir au Conseil Général - Maire de Sauveterre de Guyenne, Vice-président de l'UMP 33

sera l'invité de l'émission "Point de Vue" sur TV7 pour débattre avec Gilles SAVARY demain, Samedi 5 Décembre à 12h.

L'émission sera en ligne dès la semaine prochaine sur http://www.tv7bordeaux.fr/

Bonne journée

CONSEIL REGIONAL D’AQUITAINE

GROUPE UMP

Lundi 30 novembre 2009

COMMUNIQUĖ DE PRESSE

Alain ROUSSET parle beaucoup des TER mais agit peu …

Alain Rousset a la mémoire courte. Ses griefs doivent s’adresser au gouvernement de L. Jospin avec lequel il a mal négocié les moyens alloués au transfert de compétence de Trains Express Régionaux en 2001.

Il a sous-estimé l’état du réseau ferroviaire régional et celui du matériel roulant. Il a développé la fréquence, le cadencement, une tarification attractive alors que les éléments nécessaires et fondamentaux à la satisfaction des usagers n’étaient pas en place. D’où un mécontentement grandissant au cours des dernières années.

Sa prise de conscience est trop tardive avec la décision d’achat de 50 matériels s’étalant sur les 6 ans à venir.

Pour la régénération des voies, la Région Midi-Pyrénées a su mobiliser 850 M€ alors que, en Aquitaine, seulement 300 M€ ont été inscrits au CPER 2007-2013.

Toujours pas de vrai plan rail contrairement à beaucoup d’autres régions, il était annoncé pour fin 2009 mais aucun engagement chiffré ne sera réellement proposé.

Enfin, on ne peut opposer TER et autobus. Il nous faut résonner en inter modalité afin d’aménager le territoire et satisfaire les usagers dans un objectif de développement durable.

Fédération de la Gironde

5^ème circonscription

« Parlons Aquitaine, Parlons Régionales »

Venez échanger, débattre, émettre votre avis et vos propositions sur le rôle et l’avenir de notre Région

Mercredi 9 Décembre à 19h15

Salle du CLSH de Fongravey - Blanquefort

Avec

Xavier PINTAT

Sénateur-Maire de Soulac-sur-Mer

Vice-président de l’UMP Gironde

Dominique DUCASSOU

Conseiller Régional – Président du Groupe UMP à la Région

Adjoint au Maire de Bordeaux

PHOTOS REUNION COMITE DEPARTEMENTALE

LE CONSEIL NATIONAL

Actualités

Actualités du Conseil National
« Dans ce combat-là, je suis avec vous ». Parce qu’il estime que c’est son rôle et son devoir, Nicolas Sarkozy, le Président de la République, est venu conclure, samedi en fin d’après-midi, le 13ème Conseil national consacré en grande partie aux élections régionales de mars 2010.
Retrouvez la vidéo du Conseil National

Nicolas Sarkozy : « Dans le combat des régionales, je suis avec vous »

« Dans ce combat-là, je suis avec vous ». Parce qu’il estime que c’est son rôle et son devoir, Nicolas Sarkozy, le Président de la République, est venu conclure, samedi en fin d’après-midi, le 13ème Conseil national consacré en grande partie aux élections régionales de mars 2010.

« C’est un plaisir réel doublé d’un devoir de fidélité. Tout a commencé ici avec vous. Si vous n’y aviez pas cru, jamais on n’y serait arrivé. C’est un devoir moral de dire merci à ceux qui vous ont permis de faire ce chemin. Sans vous rien n’aurait été possible ».

Elu avec le soutien de sa famille politique, Nicolas Sarkozy n’oublie pas ce qu’elle lui doit. Mais il n’oublie pas de transmettre ses convictions et les enseignements qu’il tire de sa haute fonction.

Sa conviction qu’il ne faut pas « hésiter à réfléchir politiquement. Vers où aller ? Comment nous y rendre ? Pourquoi les Français nous ont fait confiance ? ».

Sa conviction qu’il faut « être fidèle à ses valeurs et s’élargir à la thématique nécessaire pour préparer l’avenir ».
Sa conviction, sa « seule obsession », qui est d’ « élargir ma famille . On s’élargira d’autant plus que l’on n’aura pas trahi nos engagements».

Engagements, promesses. Des mots qui résonnent et qui ont une forte valeur pour Nicolas Sarkozy, convaincu que les « divorces » qu’on pu connaître dans le passé sa famille politique avec ses électeurs trouvent leur source dans le fait que « nous n’avions pas mis en adéquation les engagements ».

De cet enseignement, Nicolas Sarkozy en tire une ligne de conduite à laquelle il ne dérogera pas. Elu Président de la République, il tiendra ses engagements de la première à la dernière minute de son quinquennat. « Nous avons été élus pour réformer le pays. Je n’arrêterai pas dans ce mouvement de réformes indispensables pour notre pays ».

Et de lister les promesses tenues, les réformes engagées : la correction de l’« erreur historique » des 35 heures ; le service minimum que « l’on promettait depuis vingt-cinq ans » ; la baisse de la TVA ; le bouclier fiscal sur lequel il sera « intraitable » pour apporter la même protection en France qu’en Allemagne ; la réforme des collectivités locales…

A quelques jours du Sommet de Copenhague consacré au réchauffement climatique, Nicolas Sarkozy pèse l’importance du rendez-vous. « Il y a un enjeu capital : celui de la planète. Si la France veut être fidèle à elle-même… nous devons montrer le chemin. « Sera-t-on ou non au rendez-vous ? », s’interroge-t-il, conscient de la démarche volontariste de la France dans ce domaine.

Et de critiquer ceux qui militent pour la décroissance. « Est-ce qu’ils savent qu’il y a du chômage, de la misère. De la décroissance c’est plus de chômage, plus de misère ».

En quittant la Convention, Nicolas Sarkozy a souligné combien «vous êtes une famille à un niveau jamais égalé dans l’histoire de la droite et du centre ». et de la remercier de conduire « derrière le gouvernement, le changement et la modernisation de la France. C’est là un privilège, une joie, un honneur ».

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Réchauffement climatique : Rajendra Pachauri, prix nobel 2007, sensibilise le Conseil national

Une partie du Conseil national, samedi 28 novembre, a été consacrée, à quelques jours du Sommet de Copenhague, au réchauffement climatique

Vagues d’inondations, vagues de chaleur, intensification des précipitations, hausse du niveau de la mer… Les perspectives tracées par Rajendra Pachauri sont connues. Mais quand elles sont énoncées par le Docteur Rajendra Pachauri, co-lauréat du prix Nobel de l’environnement en 2007 avec Al Gore, elles prennent une incarnation toute différente. Parce que le Docteur Pachauri préside le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Et que la richesse et la pertinence de ses travaux sont aujourd’hui la référence.

Invité d’un débat sur le réchauffement climatique dans le cadre du Conseil national, animé par Frédéric Lefebvre et Chantal Jouanno, secrétaire d’Etat à l’Ecologie, Rajendra Pachauri a sensibilisé l’auditoire du Conseil national au fait que la « diversité d’impacts nécessite l’attention de tous les pays ». Pour exemple, dès 2020, 75 à 250 millions de personnes subiront un stress hydrique en Afrique.

Pour le scientifique international, une « justice climatique doit guider les actions en faveur des pays en voie de développement ». Il y a urgence dans un certain nombre de pays, dont ceux du continent africain (malnutrition, pénuries d’eau, pandémies et conflits générés par ces problèmes). « Nous devons protéger nos populations et notre bien être national », estime le Docteur Pachauri pour qui il est « très important de prendre des mesures pour diminuer les émissions de gaz à effets de serre et de convertir les pays en développement aux énergies renouvelables ».
Toujours pour le prix Nobel 2007, la France « accomplit énormément de choses grâce à cette vision verte ». Pour lui, l’énergie nucléaire, le TGV, la redéfinition de la croissance avec le critère du bien-être sont de bonnes réalisations dans le cadre de cette préoccupation environnementale.

Le prochain sommet de Copenhague représente « une énorme opportunité, remarquable ». Impératifs nécessaires : prises de mesures pour permettre de gérer les transformations climatiques ; coopération vers les pays pauvres et marginalisées.

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François Fillon : « Abordons la campagne des régionales, de front et sans complexe »

Le Premier ministre, François Fillon, est venu apporter son appui, samedi 28 novembre, lors du Conseil national, à l’ensemble des candidats aux élections régionales de mars 2010

Le discours du Premier Ministre

« Mon devoir est d’assumer les espoirs et les risques de ce rendez-vous électoral ». A quatre mois des élections régionales et au matin de la présentation officielle des têtes de listes régionales et départementales aux élections régionales de mars 2010, François Fillon a assuré de son soutien l’ensemble des candidats. Il sera mobilisé par ce scrutin.

Un scrutin qui doit être, selon lui, « abordé de front, sans complexe ». Parce que « nous avons tout à conquérir », confie le Premier ministre, mais aussi parce que « sur le terrain, la gauche va tout faire pour critiquer le Président de la République, le gouvernement, les réformes engagées ». Et ces critiques actuelles et futures sur les réformes, François Fillon les accepte mal, fustigeant les « incohérences et la vacuité totale de la rue de Solférino ».

Pour François Fillon, le « premier atout » aux élections régionales c’est d’ « être unis au premier tour. L’équilibre a été trouvé. Chacun a fait des efforts, en premier lieu l’UMP ».

Et pour « ceux qui prendraient le risque de constituer des listes parallèles, ils feraient le jeu de la gauche et se disqualifieraient pour les combats de l’avenir », prévient François Fillon, passant en revue les réformes engagées par le gouvernement depuis deux ans et demi.

« 80% des réformes ont été engagées. On peut être pour ou contre. Mais nous pouvons regarder les Français dans les yeux et dire que nous sommes fidèles à nos promesses. Cette fidélité nous permet de légitimer notre action », poursuit le Premier ministre venu dire à sa famille politique que « tous ces changements sont la marque de la rupture promise par Nicolas Sarkozy ». Ce qui fait qu’aujourd’hui « être à l’UMP c’est être plus moderne et moins dogmatique que d’être au Parti socialiste ».

Développant l’action du gouvernement, François Fillon s’est cependant attardé sur la réforme des collectivités locales ainsi que sur le prochain sommet de Copenhague consacré au réchauffement climatique.

Sur la réforme des collectivités locales, François Fillon s’inquiète de l’organisation par le Parti socialiste de contre-pouvoirs locaux aux réformes de l’Etat. Pour lui, « les élus, locaux ou nationaux, sont tous comptables de l’intérêt général ».
Quant au sommet de Copenhague, François Fillon prévoit la parade si l’effort des grands pays pollueurs n’est pas à la hauteur : « La France veillera à ce que l’Europe mette un système de taxe carbone aux frontières ». Pour lui, il est hors de question que l’Europe soit « la variable d’ajustement de la négociation ».

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Travail, responsabilité, identité nationale… au cœur du projet du Mouvement Populaire

Comme il le fait lors de ses déplacements et réunions publiques, Xavier Bertrand a rappelé lors du Conseil national du 28 novembre 2009 ce qui motivait perpétuellement l’action du Mouvement populaire : le respect des valeurs comme le travail, la responsabilité, l’identité nationale, l’écologie…

Le discours de Xavier Bertrand

« On ne fait pas de politique pour son épanouissement personnel ! On ne fait pas de politique parce qu’on veut faire voter des circulaires, des décrets et des lois. On fait de la politique parce qu’on a des valeurs ». Les valeurs ! Au 28 novembre 2009, Xavier Bertrand totalisait 103 déplacements dont 84 réunions publiques. Et il n’est pas une réunion publique où Xavier Bertrand n’ait pas fait référence aux valeurs que défend le Mouvement Populaire : le travail, la responsabilité, l’identité nationale, la place des femmes, la langue française, l’écologie populaire… Des valeurs qui seront également portées par les candidats de l’UMP aux élections régionales.

Et ces valeurs, « toujours au cœur de notre action, de notre parti, de notre discours, de notre projet pour la France », ont de nouveau articulé l’intervention du secrétaire général de l’UMP, samedi, lors du Conseil national. Xavier Bertrand est convaincu que ces valeurs « vous indiquent le chemin (…), dessinent votre idéal ». A contrario, « sans valeurs, une famille politique est ballotée au gré des humeurs de l’opinion, chavirée par les sondages et l’actualité ». Pour tenir le cap, une seule posture : « la fidélité à ses valeurs ». Et la nécessité d’établir et respecter des règles. Les règles, justement, Xavier Bertrand estime que « les Français en veulent, dans les salles de classe comme dans les salles de marché ».

Travail, responsabilité, identité

Alors quelles sont ces valeurs que défend le Mouvement populaire ?


Le travail, tout d’abord. Parce que « le travail c’est l’effort, et que l’effort est le fondement du mérite et de l’épanouissement personnel (…) source de toute richesse, de toute insertion sociale, de toute réussite ». Par contre, aux yeux du secrétaire général de l’UMP, la spéculation et l’assistanat ne respectent pas « la valeur du travail, de l’effort et du mérite ». Visé, le capitalisme « de spéculateur », « tout le contraire de notre morale, de nos principes » auquel Xavier Bertrand oppose le « capitalisme d’entrepreneur, notre modèle ». Visée également, la culture de l’assistanat « pas conforme à l’idée que nous nous faisons de l’Homme et de sa dignité ».

Autre valeur : la responsabilité qui renvoie notamment aux droits et devoirs de la famille. Partant du postulat que « c’est dans la famille qu’on transmet la morale et les principes de la vie commune », Xavier Bertrand précise que « l’éducation, c’est la famille. L’instruction, c’est l’école ». Ce pour bien souligner que lorsque « les enfants ne vont pas en classe, ce n’est pas la responsabilité de l’école mais celle des parents ». Et d’en profiter, au nom du Mouvement populaire, de demander à nouveau l’application de la loi votée en 2006 autorisant la suspension des allocations familiales quand les enfants ne vont pas à l’école.

Priorité nationale : apprendre le français

Sur l’identité nationale « sans laquelle il n’y a ni solidarité, ni unité nationale », le secrétaire général de l’UMP appuie le débat « important » mené par Eric Besson. Critiquant Martine Aubry pour qui poser cette question « c’est désigner les immigrés et en faire des boucs émissaires », Xavier Bertrand préfère axer sur ce que « nous proposons à tous, les promesses de la République, les promesses éternelles de la France : le patrimoine français, notre langue, notre art de vivre, nos valeurs, à tous et pour tous, sans distinction de couleurs ni de religions ».

Raison pour laquelle Xavier Bertrand fixe comme « priorité nationale » d’apprendre le français aux enfants issus de l’immigration avant leur propre langue d’origine. Et s’oppose au port de la burqa, ce « vêtement subi », cette « prison pour les femmes ».

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Ecologie populaire : cette autre valeur

Il est une autre valeur que le Mouvement populaire va porter et développer lors des élections régionales de mars 2010 : l’écologie populaire.


Portée par Jean-Louis Borloo, Chantal Jouanno, Eric Diard et Xavier Bertrand, l’écologie populaire a pour principales caractéristiques d’être « humaniste », « juste » et favorable au progrès scientifique.

Lors du Conseil national du 28 novembre 2009, Xavier Bertrand a montré combien sur cette thématique le Mouvement populaire était décomplexé. « Aucun gouvernement, sous aucune législature, n’aura fait autant pour l’environnement que celui de François Fillon et de Nicolas Sarkozy. »

Ecologie populaire « humaniste » car, dit Xavier Bertrand, « nous pensons que l’écologie est au service de l’homme et non que l’homme est au service de l’écologie ». Pas de religion de la croissance pour la croissance ni de religion pour la décroissance. « Les richesses, nous en avons besoin », détaille Xavier Bertrand « pour financer les dépenses liés au vieillissement de nos sociétés, Pour améliorer la vie de nos citoyens. J’attends des Verts qu’ils aient le courage de dire que leur vision de l’écologie entraînera la réduction des ressources de notre système social », poursuit-il.

Ecologie populaire « juste », c’est, pour le Mouvement populaire, « une écologie pour tous, une écologie pour le peuple, une écologie qui ne renchérit pas le coût de la vie, notamment pour les plus modestes ».

Ecologie populaire du « progrès scientifique », celle des panneaux solaires, les biocarburants de deuxième génération, le nucléaire de quatrième génération. « Là aussi, j’attends des Verts qu’ils aient le courage de dire qu’ils veulent arrêter le nucléaire et qu’ils fragiliseront notre indépendance énergétique », note-t-il.Il est une autre valeur que le Mouvement populaire va porter et développer lors des élections régionales de mars 2010 : l’écologie populaire.

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« La France change, ma région doit changer aussi »

Tel est le slogan de la campagne nationale du Mouvement Populaire dévoilé samedi 28 novembre lors du Conseil national. Michel Barnier, Bernard Accoyer, Gérard Larcher et Jean-François Copé ont assuré de leur implication

Si le sceau de l’union a marqué le 13ème Conseil national du Mouvement Populaire aux Docks d’Aubervilliers, Xavier Bertrand, secrétaire général, a souligné, à l’image des européennes, qu’il était « important de faire une stratégie politique ». En clair, inutile et inefficace de « faire une campagne chacun dans sa région. Dans notre campagne nous allons assumer nos valeurs, assumer les actions du Premier ministre et du Président de la République », souligne Xavier Bertrand. « La France, les Français le voient, change. Mais dans nos régions, la France ne change pas ». D’où le slogan et un film l’accompagnant : « La Franche change, ma région doit changer aussi ».

Préalablement, plusieurs personnalités ont apporté leurs témoignages et convictions.

Ainsi Michel Barnier, promu la veille Commissaire européen chargé du Marché intérieur et des services financiers, trouve des similitudes entre ce Conseil national et celui du 24 janvier qui a, notamment, marqué le lancement des élections européennes. « Pour la première fois, le Mouvement s’était mobilisé sur les européennes, avec intensité et de bas en haut ». Autre similitude , l’union : « Sans nous ressembler mais en nous rassemblant on s’y est retrouvé largement ».
Jean-François Copé, président du groupe UMP à l’Assemblée nationale, évoque une « aventure extraordinaire, un moment exceptionnel de rencontres, de mobilisation ».

Et d’adresser trois conseils : « lucides sur nos adversaires, vigilants sur nous-mêmes, être nous-mêmes ». Lucides car le PS, « bien que miné par ses querelles intestines sait toujours se retrouver pour se partager les postes ». Vigilants « sur notre capacité à porter le message, à ne rien lâcher, à ne rien laisser passer ». Etre nous-mêmes « parce qu’il ne faut pas craindre de mettre les pieds dans le plat » sur un certain nombre de sujets comme le débat sur l’identité nationale pour lequel il suggère un message : « quels sont nos devoirs en tant que Français ? Qu’est-ce-que l’on doit à son pays ? ».

Président de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer remarque que les élections régionales « sont toujours le reflet de ce que la France et les Français pensent » . Raison pour laquelle il faut « continuer l’action autour de nos valeurs ».
Enfin, Gérard Larcher, président du Sénat, note que « les élections régionales sont pour nous, au Sénat, un rendez-vous essentiel, celui des territoires ». Au moment où va être débattu au Parlement la réforme des collectivités locales, Gérard Larcher appelle les militants et élus à ne pas « vivre terré, apeuré par ce débat. Les plus recroquevillées, les plus conservatrices ce sont les régions de gauche.Si nous voulons poursuivre la politique menée par Nicolas Sarkozy, il est important d’avoir des territoires qui ne s’opposent pas ».

Le discours de Xavier Bertrand

Régionales : c’est parti pour le Mouvement Populaire

Samedi matin, peu après 10 heures, les membres du Conseil national du Mouvement Populaire ont validé les têtes de listes régionales et départementales pour les prochaines élections régionales de mars 2010. Dans l’union et la détermination

« Nous sommes prêts pour les élections régionales. Nous sommes la première formation politique à présenter ses candidats. Nous sommes prêts dans l’unité ».

En lançant samedi matin le 13 ème Conseil national du Mouvement Populaire, Jean-Pierre Raffarin a donné le ton. Celui d’un Conseil national, offensif et déterminé, entièrement tourné sur les élections régionales.
Et pour mener ces élections, les conseillers nationaux ont validé vers 10 heures, après un vote par boîtier électronique, les têtes de listes régionales et départementales.

Les têtes de listes

« Nous avons mis en œuvre la volonté du Président de la République, celle de respecter tous les équilibres. Le processus de désignation s’est fait en concertation avec les ministres, les élus, les cadres du Mouvement, les militants. Il était respectueux de la volonté des adhérents du Mouvement», soulignait Jean-Claude Gaudin, président de la commission nationale d’investiture (CNI).

Dans le détail, et avant ce Conseil national, la commission d’investiture avait entendu près d’un millier d’élus. La notion du respect des équilibres se traduit, notamment, par deux têtes listes régionales et quinze têtes de liste départementales Nouveau Centre et une tête de liste départementale emmenée par le Mouvement pour la France (MPF).

Avant d’appeler avec Franck Riester (député-maire de Coulommiers, Seine-et-Marne), directeur de campagne de ces régionales, l’ensemble des têtes de listes régionales et départementales, Jean-Claude Gaudin a de nouveau insisté sur la force de l’union. « Ensemble, nous avons des chances de gagner. N’écoutons pas les sirènes. Préparons-nous et gagnons ensemble ces élections régionales ».

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Samedi 28 novembre 2009, se déroule aux Docks d’Aubervilliers, de 9 à 18 heures, le 13^ème Conseil national du Mouvement populaire.

En qualité de premier vice-président du Conseil national, Jean-Pierre Raffarin ouvrira les travaux de cette instance qui consacrera la matinée à la préparation des élections régionales de mars 2010.

Seront notamment annoncées et présentées par Franck Riester, directeur de campagne, les têtes de listes régionales et départementales de la majorité présidentielle.

Xavier Bertrand, secrétaire général de l’UMP et François Fillon, Premier ministre, prendront ensuite la parole.

Deux temps forts marqueront l’après-midi : le débat sur les enjeux écologiques en présence de Jean-Louis Borloo et Chantal Jouanno ; l’intervention, ensuite, du président de la République, Nicolas Sarkozy.

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Dans le prolongement du Conseil National, Xavier Bertrand entouré de Franck Riester et de Jean-Claude Gaudin a reçu les têtes de listes départementales et régionales.

Appelant à une « véritable dynamique », Xavier Bertrand a rappelé « combien la mobilisation de notre électorat était nécessaire pour emporter les élections régionales ».

« C’est avec un esprit d’ouverture, d’unité, du volontarisme, un projet et des valeurs qui portent » que nous pourrons renouveler le pari des européennes de juin 2009, auxquelles la majorité présidentielle s’était présentée unie », a ajouté Xavier Bertrand.

« L’incantation des discours des socialistes ne remplacera jamais la politique par la preuve », a conclu Xavier Bertrand après les séances de questions-réponses avec les têtes de listes.