




«Ayons le courage de changer» : pendant trois quarts d'heure, Nicolas Sarkozy a martelé une nouvelle fois que la crise ne devait pas servir de prétexte à l'immobilisme, mais plutôt «rendre plus libre d'imaginer un autre avenir». (Voir le discours en intégralité avec LCP-AN et Public Sénat)
«La crise n'est pas finie, nous ne savons pas quand elle se terminera», a reconnu le chef de l'Etat, dans son premier discours devant les parlementaires réunis en Congrès à Versailles.
LES PRINCIPALES DECLARATIONS:
" -UN EMPRUNT POUR FINANCER LES PRIORITES NATIONALES
- UNE DECISION SUR LES RETRAITES A LA MI-2010
- UN AN DE SALAIRE POUR LES LICENCIÉS ÉCONOMIQUES
- LA BURQA, NON GRATA DANS LA RÉPUBLIQUE
- LA LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS, UNE PRIORITÉ
- LE REMANIEMENT POUR MERCREDI
- ALLER «JUSQU'AU BOUT» SUR HADOPI
- TAXE CARBONE, UN CHOIX STRATÉGIQUE
- CONSTRUIRE DES PRISONS
- LA RÉFORME DES COLLECTIVITÉ LOCALES CONFIRMÉE"
5ème circonscription de la Gironde
18 JUIN 1940 - 18 JUIN 2009
COMMEMORATION de l’APPEL DU 18 JUIN DU GENERAL DE GAULLE
Jean Christophe GUILLAUME,
délégué de la 5ème Circonscription
et
Jean Pierre FONTANEAU, conseiller national et membre du Comite de circonscription,
organisent une céromonie du souvenir sur la commune de LISTRAC en présence de :
Monsieur le Maire Michel PRIOLLAUD.
De Gaulle arrive à Londres le 17 juin 1940 avec l'intention de négocier avec les alliés britanniques la poursuite de la guerre, après avoir exposé son plan à Paul Reynaud. Il rencontre le Premier ministre britanniqueWinston Churchill dans l'après-midi. De Gaulle expose son projet de maintenir la France dans le combat même en cas de capitulation du gouvernement installé à Bordeaux. Il émet le souhait de pouvoir s'exprimer à la radio dès que la nouvelle de la capitulation tombera. Winston Churchill donne son accord de principe et met à disposition la BBC.
Dans la soirée du 17, l'écho du discours de maréchal Pétain, nouveau chef du gouvernement français, parvient à Londres. Ce dernier annonce son intention de demander à l'ennemi la signature d'un armistice. Churchill et de Gaulle conviennent dès lors que le second s'exprimera dès le lendemain sur les ondes.
De Gaulle lit son discours sur les antennes de la BBC à 18 heures locales le 18 juin. C'est un appel à la poursuite du combat aux côtés des alliés britanniques. Pour le général de Gaulle, la bataille de France, qui vient certes d'être gagnée par les Allemands, ne signifie pas la fin de la guerre. Car « cette guerre est une guerre mondiale » et la France pourra s'appuyer sur la force industrielle de ses alliés et notamment celle desÉtats-Unis. S'adressant aux soldats français, ce message d'espoir se termine par un appel à la Résistance, faisant entrer le terme dans le vocabulaire politique du xxe siècle.
L'Appel du 18 Juin marque le début de la France libre qui, formée uniquement de volontaires (au début très peu nombreux), poursuit le combat sur terre, sur mer et dans les airs auprès des Britanniques et représente, face au régime de Vichy, la France qui se bat.
"C'est la première fois depuis 1984 qu'un parti de la majorité présidentielle arrive en tête aux élections européennes", a affirmé François Fillon. VIDEO:La déclaration de François Fillon
Pour lui, ce succès tient "d'abord (à) la reconnaissance du travail accompli par la présidence française de l'Union européenne sous l'autorité du président de la République", avant d'ajouter que c'est aussi "le résultat de l'unité de la droite."Ce succès, nous l'assumons avec beaucoup de gravité", a encore dit le Premier ministre, promettant que la France serait "en première ligne" pour relever "deux grands défis": celui de la crise économique et du réchauffement climatique.
Pour Frédéric Lefebvre, "les engagements pris par les candidats pendant la campagne des européennes seront tenus par les eurodéputés tout au long de leur mandat", comme il l'a annoné lundi 8 juin lors de la conférence de presse hebdomadaire au siège national.
Xavier Bertrand, secrétaire général de l'UMP, a déclaré que ce résultat était "un résultat au-delà de nos espérances, mais un résultat qui nous engage"."C'est un succès important qui nous donne aussi des responsabilités importantes parce que l'abstention est toujours aussi présente", a ajouté Xavier Bertrand. "Dans toute l'Europe, le taux d'abstention est important parce que ça montre bien que des questions sont là sur l'Europe et qu'il nous faut continuer à faire changer l'Europe".
Il a également estimé que les résultats des élections européennes représentaient "la défaite" de ceux qui n'avaient "pas parlé d'Europe dans cette campagne" et "la sanction d'une opposition hystérique et obsessionnelle".
FEDERATION DE LA GIRONDE
5ème Circonscription
18 JUIN 1940 - 18 JUIN 2009
COMMEMORATION de l’APPEL DU 18 JUIN DU GENERAL DE GAULLE
Jean Christophe GUILLAUME, délégué de la 5ème Circonscription et
Jean Pierre FONTANEAU, conseiller national et membre du Comite de circonscription, organisent une céromonie du souvenir sur la commune de LISTRAC en présence de :
Monsieur le Maire Michel PRIOLLAUD.
PROGRAMME :
18 H 45 Rendez-vous devant la Salle des Fêtes de LISTRAC
19 H 00 Dépôt de Gerbes devant le Monument aux Morts
19 H 30 Pot de l’amitié offert par Mr le Maire sur la terrasse de l’AUBERGE des VIGNERONS
20 H 00 Repas du Souvenir à l’AUBERGE des VIGNERONS
Prix 22,00 € par personne – (chèque UMP GIRONDE)
A adresser avant le 13 JUIN 2009 à : (Place limitée au restaurant)
HENRIETTE ŒIL
Résidence Cimbats II
Entrée 8
33290 BLANQUEFORT
Tel : 05.56.35.22.20
« Discours du Président de la République sur la - Les pieds dans le plat »
Dans une lettre adressée à Alain Rousset le 20 mai 2009, Dominique Ducassou revient sur la responsabilité du Président de la Région dans le dossier LGV.
Monsieur Alain ROUSSET
Président
Conseil Régional d’Aquitaine
Alain,
Tu as annoncé urbi et orbi ton intention de publier le courrier que tu m’as adressé le 7 mai, aussi me permettras-tu de rendre publique ma réponse.
Tu prétends, sur FR3, que je suis un menteur, qui ne reconnaît pas l’immensité de ton action à la tête du Conseil régional d’Aquitaine.
Mais qui ment, est-ce moi ? ou toi Alain Rousset ?
Toi, qui accuses aujourd’hui l’Etat «de faire les poches des collectivités territoriales » ? en oubliant que tu as signé, comme tes homologues de Poitou-Charentes et Midi-Pyrénées, le protocole du 25 janvier 2007 prévoyant que l’Etat et les collectivités se partagent, à parts égales, le financement public du TGV, ce qui est d’ailleurs la règle, valable pour tous les TGV. Le communiqué de presse triomphant que tu as publié à l’époque ne manifeste aucune réserve de ta part.
Toi, qui as revendiqué d’être chef de file régional et, en cette qualité, cosignais avec le Préfet les convocations des élus aux réunions sur le financement du TGV et qui, aujourd’hui, te défends de toute implication ?. Au moins, en Midi-Pyrénées, Martin Malvy a-t-il bien joué son rôle en fédérant toutes les collectivités.
Toi, qui prétends aujourd’hui n’avoir aucune responsabilité dans le blocage du dossier? en passant sous silence que tu as, seul, négocié, avec les experts de la mission de financement, un partage des contributions financières, permettant au Conseil régional de se défausser sur les départements et agglomérations aquitains. Ce sont eux qui supportent les 2/3 du financement, alors que, partout ailleurs, les Conseils régionaux ont assumé leurs responsabilités, en finançant de 53 à 65% de la part régionale. Ainsi, en Bretagne, le Conseil régional verse pour le TGV 480 M€ sur 896 M€ de contribution régionale, et, en Aquitaine, seulement 291 M€, sur 800 M€.
Bien sûr, la Région aura également à participer au financement des Grands Projets du Sud-Ouest, vers Toulouse et Hendaye, mais ce n’est pas le même calendrier et ce ne sera pas non plus la même ambition (au total 700kms de TGV au lieu de 180 pour le TGV Bretagne). Aujourd’hui c’est du TGV SEA qu’il s’agit ; et l’enjeu est suffisamment crucial, pour l’ensemble de l’Aquitaine, pour que le Conseil régional assume pleinement son rôle d’échelon territorial en charge de l’aménagement du territoire.
Toi, qui cloues au pilori la ville de Bordeaux qui «ne verse pas un centime pour la LGV » ? Je te rappelle qu’aucune commune n’est appelée à financer directement le TGV. C’est la CUB, exerçant les compétences communales en matière de transport et percevant la taxe professionnelle des entreprises bordelaises, qui, de ce fait, contribue au financement du TGV pour 121 M€.
Toi, qui critiques l’UMP, alors que tu n’as pas été en mesure de te faire entendre par les présidents socialistes de Poitou-Charentes et Midi-Pyrénées ?
Toi, qui te poses en donneur de leçons sur l’endettement des collectivités et ne vois aucun intérêt aux prêts bonifiés à 50 ans, mis à disposition des collectivités pour le financement des grandes infrastructures ? Tu oublies de dire que ce n’est pas sous ta présidence que le Conseil régional a dû faire face à l’énorme accroissement des effectifs de lycéens et aux investissements correspondants. Il est légitime et de bonne gestion d’avoir recours à l’emprunt pour financer les investissements de long terme qui préparent l’avenir, lycées ou TGV, et, a fortiori, quand les taux sont réduits.
Toi, qui t’autofélicites de tout ce qui se fait dans la Région, t’accapares les réussites, y compris quand ta contribution est faible au regard des sommes engagées, tout en rejetant sur d’autres la responsabilité des difficultés ? Bien sûr, on aimerait que l’Etat et l’Europe fassent plus. Mais, en l’occurrence, sur le TGV, l’Etat est au rendez-vous et met sur la table 1,4 Md€. Qu’attend le Président de la Région ?
Dans cette attente, bien cordialement à toi.
Dominique Ducassou
Conseiller régional
Président du groupe UMP.